La piscine de Colombes ferme pour se transformer en centre aquatique

La piscine de Colombes ferme à partir de ce samedi 23 avril 2022 pour devenir un centre aquatique. Elle va être entièrement rénovée et agrandie en vue des JO de Paris.

Le début du chantier est imminent. La piscine municipale de Colombes (Hauts-de-Seine) fermera ses portes au public à partir de ce samedi 23 avril 2022. Elle va en effet subir des travaux de réhabilitation et d’extension de grande ampleur.

L’objectif : transformer la piscine en un centre aquatique de dernière génération en vue des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. L’équipement sera effectivement le centre d’entraînement des équipes de natation artistique sélectionnées pour les JO.

La transformation de la piscine en centre aquatique pour les JO

Construite à la fin des années 1960 par l’architecte Henry Pottier, la piscine est aujourd’hui vétuste. Elle va ainsi être entièrement rénovée et agrandie. Dans le détail, le bassin de 50 mètres sera mis aux nouvelles normes et revêtu d’un procédé inox.

La #piscine entame sa phase de transformation en #centreaquatique 🏊‍♀️
⚠️ À partir du 23 avril, elle fermera ses portes pour une opération de réhabilitation/extension de grande ampleur en vue des #JOP2024 @Paris2024
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— Ville de Colombes (@VilleColombes) April 19, 2022

Une nouvelle pataugeoire et deux toboggans prendront place à l’intérieur de l’équipement. À l’extérieur, un bassin nordique chauffé remplacera l’actuelle pataugeoire. Enfin, une plaine de jeux avec des jets d’eau et un pentagliss viendront compléter l’offre.

Les travaux de la piscine de Colombes prendront fin en mai 2024

Au total, cette transformation va nécessiter 24 mois de travaux. Le chantier commencera le 9 mai prochain et s’achèvera en mai 2024. L’équipement sera remis à la ville en septembre 2024. Le montant prévisionnel des travaux de la piscine s’élève à 28,8 millions d’euros.

La ville de Colombes a investi 24,5 millions d’euros dans cette opération. La Société de livraison des ouvrages olympiques (Solideo) et la Métropole du Grand Paris ont également participé au financement à hauteur de 2,3 et 2 millions d’euros respectivement.