Découvrez les premiers visuels des futurs collèges d’Osny et de Persan

Le département du Val-d’Oise a dévoilé les premiers visuels des collèges d’Osny et de Persan. Ils doivent ouvrir à la rentrée 2024.

Après avoir dévoilé les visuels du collège de Villiers-le-Bel, le département du Val-d’Oise a révélé ceux d’Osny et de Persan. Leur aménagement fera une part belle à la nature à en croire les premières images de ces établissements. Les deux collèges vont en effet comporter des toits végétalisés et des cours arborées.

Les matériaux naturels vont par ailleurs avoir une place prédominante. Les façades des bâtiments seront effectivement habillées de bois et les murs à l’intérieur également. Pour rappel, la construction des établissements doit démarrer au deuxième trimestre 2023. Ils devraient ouvrir à la rentrée 2024.

Les équipements des futurs collèges d’Osny et de Persan

Le collège d’Osny aura une capacité d’accueil de 600 élèves et celui de Persan de 650. Ils vont tous les deux disposer notamment d’un service de demi-pension avec une cuisine, d’une aire d’éducation physique et sportive, d’une cour de récréation et de quatre logements de fonction.

Le prochain établissement d’Osny aura également un parking de 60 places. Ces collèges bénéficieront «d’une démarche de design de service dans l’aménagement des espaces, comme tous les nouveaux collèges construits dans le département», précise la collectivité dans un communiqué.

32 millions d’euros pour la construction des deux collèges

L’établissement d’Osny va représenter un coût de 16,6 millions d’euros et celui de Persan de 15,5 millions. «32 millions d’euros seront investis par le département et le Fonds de Solidarité et d’Investissement Interdépartemental dans la construction de ces deux nouveaux collèges», souligne Marie-Christine Cavecchi.

«Au total, le département consacrera plus de 67 millions d’euros cette année à la construction et au plan Marshall de rénovation des collèges», ajoute la présidente du département. En effet, la collectivité va mobiliser 29 millions d’euros pour l’entretien de ces établissements cette année.